Richard F. Doulière est né à Marchienne-au-Pont (Belgique) en 1928.

Répondant à un appel reçu dès la plus tendre enfance, il entre à 17 ans à l’Institut Biblique Belge et y suit le cycle complet de quatre années. Il s’inscrit ensuite à la faculté libre de théologie d’Aix-en-Provence où il obtient le diplôme quatre ans plus tard.

Après son mariage en 1953, il est évangéliste itinérant pendant neuf ans. Puis il part comme missionnaire en Haïti avec son épouse Jacqueline, son fils et ses trois premières filles (il en aura deux autres).

C’est comme speaker de radio qu’il y a été invité par la West Indies Mission. Mais très rapidement il est également chargé des cours de la section française de l’Institut Biblique Lumière.

Dès son entrée à l’Institut Biblique Belge, son intérêt s’était porté sur les problèmes d’interprétation, ce qui avait d’ailleurs orienté le choix de son mémoire de maîtrise. L’enseignement exégétique qui lui est demandé en Haïti et qu’il poursuivra au Séminaire évangélique de la Guadeloupe, dont il aura ensuite la responsabilité, ne peut que nourrir son désir d’une quête de plus en plus sérieuse du sens des Écritures.

Rentré en France, il mène de front les responsabilités pastorales, un ministère auprès des jeunes, un travail d’écriture et une disponibilité progressive en réponse aux divers appels d’églises ou d’œuvres. Depuis le début du siècle, il a ajouté à ces diverses tâches des voyages d’enseignement au Séminaire de Théologie Évangélique de Port-au-Prince, aux Instituts Bibliques de Berkovitsa, des Cayes (Haïti), d’Emmaüs (Suisse), à Libreville (Gabon) et à Bangui (RCA).

Son désir le plus cher est maintenant de trouver le temps de rédiger le fruit de décennies d’étude de la Parole dans des ouvrages capables de susciter une réflexion sérieuse chez ses lecteurs.

Sa pensée est souvent originale, mais l’exposé en est le plus souvent prudent, car s’il désire stimuler la recherche, il s’efforce de ne pas imposer ses propres conclusions.

Persuadé que la croissance spirituelle des chrétiens en dépend, son souhait est de voir renaître, au sein des églises, un véritable intérêt pour l’étude de la Parole.

Il y trouve lui-même tant de joie profonde !

  • C’est bien, bon et fidèle serviteur

    Le texte présente l’idée que la santé, les richesses artistiques, spirituelles ou matérielles ne nous appartiennent pas et que nous en sommes seulement les gérants qui devrons rendre compte de notre gestion. Pour gérer ces aspects de la vie de manière sage, l’auteur suggère que les principes nous sont donnés par Dieu dans sa Parole et que nous devons les mettre en pratique dans toutes les sphères de notre vie. L’ouvrage de Richard Doulière rassemble tout ce qui doit inspirer notre comportement. Il est recommandé pour ceux qui cherchent à être considérés comme des servants bons et fidèles.

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  • De l’Eternité à l’Eternité

    Durant sa longue vie, Richard Doulière s’est efforcé d’unir une sérieuse réflexion théologique à un ministère exercé comme évangéliste itinérant, homme de radio, professeur de séminaire, responsable de jeunesse ou pasteur. Nous le connaissons aussi comme traducteur et écrivain. Ses commentaires sur Romains et, récemment, sur Jacques, ses écrits, méditations, poèmes l’ont fait apprécier d’un large public. Le présent ouvrage en diffère à plusieurs égards. Il y survole largement le dessein de Dieu tout au long de l’Histoire.

    Cela le conduit à aborder des questions sensibles comme le rôle d’Israël, la place de l’Eglise et l’avenir de la planète. On peut y reconnaître le long mûrissement d’une pensée alimentée par un amour indéfectible de la Parole. Piste de réflexion plus qu’affirmation dogmatique, « De l’Eternité à l’Eternité » s’adresse à ceux qui ne craignent pas de sortir des sentiers battus et rebattus de la théologie actuelle pour contempler, sous un angle partiellement neuf, la majesté de l’œuvre du Créateur.

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