Livre, traitant de deux délais assignés au peuple saint à cause de ses chutes sans volonté de se relever, on y trouve à l’origine deux soucis majeurs ci-dessous.

• La nécessité, à tout prix et à juste titre, d’interpréter, bibliquement un délai effectif et un délai codé, afin de les comparer quantitativement dans le calendrier parfait et dans l’espace
• L’urgence de déterminer si oui ou non, il y a équivalence et moment de convergence entre le délai de Jérémie et celui de Daniel.

En effet, les 70 ans d’exile de Juda et les 70 semaines de Daniel ayant été confondus pendant longtemps, ont priorisés le doute, la désillusion, la méfiance de la parole prophétique. Cette lumière qui rîme avec la bénédiction divine, a fini pas être malheureusement rejeté par les siens. Les nations ont enfin eu raison sur les juifs en les exilant à babylone.

C’est là où Daniel reçu un Oracle sur le délai indispensable pour le peuple de Dieu, afin qu’il voie l’ultime restauration de la tente de David et tout ce que cela implique pour l’humanité. Les saints doivent définitivement comprendre que les 70 semaines de Daniel valent, effectivement 490 ans dans le calendrier sacré. En clair, quoi qu’ils aient 49 ans en commun, les délais de Jérémie et de Daniel sont inégaux. Car quoique subdivisé en trois périodes inégales et non soudées, les 70 semaines de Daniel on en réalité 420 ans de plus que le délais de Jérémie. En fait, le premier délai prédit par Jérémie fixe les limite de la domination Babylonienne et de l’exile de Juda, tandis que le deuxième délai prédétermine, avant de voir la restauration millénaire du Royaume Uni d’Israël, le temps de patience que le peuple de Dieu doit endurer selon Daniel. Ce prophète a donc émis une lumière qui doit aussi continuer d’impacter l’Église.