Parlez de mauvais esprits dans un groupe de chrétiens. Certaines personnes seront mal à l’aise, d’autres tendront avidement l’oreille.

Le sujet ne laissera jamais personne indifférent. Possessions et exorcismes forment traditionnellement un domaine  » tabou  » dont on ne parle qu’à mots couverts, un domaine mystérieux qui inspire une crainte et une répugnance ataviques. Nous retrouvons des traces de cette crainte chez certains chrétiens qui préfèrent parler des œuvres de Dieu plutôt que de celles du diable, ce en quoi nous ne pouvons que les louer, en soulignant toutefois qu’il y a des occasions où il importe de parler clairement de la possession.

A l’opposé, notre époque a vu se développer une curiosité quelque peu malsaine et désordonnée concernant les mauvais esprits et les manifestations surnaturelles qu’on leur attribue. Certains chrétiens se sont laissés entraîner dans ce mouvement. Il est normal de chercher à connaître ce domaine spirituel trop longtemps ignoré, mais constatons que l’engouement actuel n’a pas su éviter certaines outrances.

En tant que chrétiens, nous devons reconnaître notre dette insondable envers Israël et prier toujours sur la base de cet endettement total. Le mot Juif apparaît soixante-quinze fois dans l’Ancien Testament et cent quatre-vingt-huit fois dans le Nouveau Testament. D’autre part, le mot chrétien n’apparaît que trois fois dans le Nouveau Testament. Vous ne pouvez pas comprendre complètement la Bible sans avoir de connaissance concernant Israël. Et si vous êtes confus concernant Israël, vous serez confus concernant la Bible.
L’identification de Jésus avec le peuple juif ne s’est pas limitée aux quelques années de sa vie terrestre et de son ministère. Elle est éternelle. Plusieurs années après sa résurrection et son ascension, il est toujours appelé le ‘Lion de la tribu de Juda’! Non seulement il était juif, mais il est toujours juif. Nous devons nous rappeler qu’il y a un Lion au Ciel, c’est un Juif et qu’un jour ce Lion rugira.

«Sans les Juifs, nous n’aurions pas de patriarches, pas de prophètes, pas d’apôtres, pas de Bible, et pas de Sauveur!»
– extrait de «Notre dette envers Israël» de Derek Prince

Ce livre de Pascal Kossi AZANLEDJI va vous montrer en détails certaines vérités concernant non seulement la prière, mais la relation avec Dieu. Comme il le défend justement, la communion avec Dieu notre Père reste le but essentiel de la prière. Beaucoup de chrétiens et d’églises aujourd’hui se sont éloignés, suite à de nombreuses erreurs dans leurs pratiques et leurs doctrines, de vérités essentielles de l’Evangile de Jésus Christ. Aussi leur manière de prier et de s’approcher de Dieu est faussée, par manque de connaissance et par de mauvaises motivations.

Cet ouvrage a le mérite de donner un éclaircissement poussé sur de nombreux points, toujours appuyé sur des références et des explications bibliques, afin de nous affranchir des pratiques qui nous retiennent loin des vérités qui donnent la vie. Chacun des sujets abordés peut vous amener à une réflexion et un changement de cap suffisant pour vous réorienter vers une relation d’amour et de vérité épanouie avec Dieu. De cette façon, vous allez vous approprier les justes raisons de prier et d’être exaucé, ainsi que la joie de {re)trouver Dieu au centre de votre vie de prière. Ainsi, vous expérimenterez la joie et le bénéfice non seulement d’une vie de prière, mais surtout d’une prière de vie!