Le peuple de Samarie a atteint le fond de sa misère. À présent Dieu peut agir. De sa part, Élisée, le prophète de la grâce, répondit à la tentative de meurtre du roi en annonçant la délivrance. Le salut est proclamé encore aujourd’hui. Mais combien, comme le capitaine, y répondent par l’incrédulité et la moquerie? Ce sont ces quatre pauvres lépreux qui vont être employés pour faire connaître ce salut: 

« et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant celles qui sont » (1 Corinthiens 1: 28)

Sans aucune intervention humaine, l’armée syrienne a été mise en déroute. L’Éternel seul a remporté la victoire. Il en est ainsi de la croix où Jésus a triomphé seul de tous nos ennemis. Nous étions comme ces misérables lépreux, des pécheurs dans une situation désespérée, voués à une mort certaine et éternelle. Mais celle-ci est maintenant annulée pour le croyant. Il trouve à sa place : la vie, la paix, des richesses spirituelles abondantes et gratuites pour le présent, et un avenir assuré.

Tels sont les fruits de la victoire de Christ à la croix. Et voyez-vous ? Il suffisait de se lever et d’aller prendre possession de ces choses comme l’enfant prodigue l’a fait. Et vous ? L’avez-vous fait ? Où bien êtes-vous encore assis dans les ténèbres… et dans l’ombre de la mort ? (Matthieu 4 : 16).

« Et était revenu à lui-même, il dit: combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance et moi, je meurs de faim ici ! Je me lèverai, et je m’en irai vers mon père, et je lui dirai: Père, j’ai péché contre le ciel et devant toi. Je ne suis pas digne d’être appelé ton fils; traite-moi comme l’un de tes ouvriers. » (Luc Is : 17-19)

« Et il y avait à l’entrée de la porte de la ville quatre lépreux et ils se dirent l’un à l’autre: Pourquoi sommes-nous assis ici jusqu’à ce que nous mourions ? » (2 Rois 7:3), 

Les lépreux étaient moins considérés en Israël à cause de la lèpre Transformez vos faiblesses en victoires qui était une gangrène contagieuse. Au temps du prophète Élisée, Dieu avait manifesté Sa grâce en guérissant un syrien du nom de Naaman alors qu’il y avait plusieurs lépreux en Israël. Lui aussi était un officier du roi syrien, qui était plus rapproché du roi et avait une grande influence auprès du roi. 

C’est lui qui avait battu Israël et avait emporté une jeune juive captive. Et comme, elle vivait chez le général Naaman, elle pouvait voir le général en tenue civile et le voir torse nu. Elle découvrit la lèpre du puissant général, et elle lui proposa de chercher la guérison auprès du Dieu d’Israël.

Cette jeune fille bien qu’elle fut une très jeune esclave, elle crut que le Dieu d’Israël, Jéhovah Rapha était capable de guérir la lèpre du général syrien. Aucun lépreux israélite ne consulta l’Éternel par le biais du prophète Elisée. En outre, en ce temps, la lèpre était une maladie incurable. Quel type de risque que la jeune juive avait pris en convainquant le général Naaman d’aller chercher la guérison auprès du Dieu d’Israël!

Cette fille avait la foi semblable à celle de Rhodes qui entendit une personne frappée à la porte de la maison qui servait de salle de prière. C’était lors de l’arrestation de l’apôtre Pierre pour être présenté à la foule le jour suivant, car sa condamnation était déjà annoncée. Mais l’Église ne cessait de prier en sa faveur. Quand Pierre fut relâché, grâce à la prière d’intercession faite par l’église, il se dirigea vers le lieu de prière où se trouvait, l’église en prière. Il frappa à la porte, une jeune sœur vint entendre la voix de la personne cumulée qui frappait. Elle le reconnut, mais ceux qui intercédaient ne crurent point que c’était l’apôtre Pierre.

Le même Dieu qui guérit Naaman pouvait aussi guérir tous les lépreux d’Israël. En effet, c’est par cette occasion que nous pensons que la faveur divine était sur le général Naaman, et que le général prit le risque de croire en ce que la jeune fille juive lui avait proposé. Naaman était un général d’armée très fort, car il avait vaincu Israël, mais d’une part, malgré sa puissance de vaincre les Syriens, il était un lépreux.

Le même Dieu qui guérit Naaman pouvait aussi guérir tous les lépreux d’Israël. En effet, c’est par cette occasion que nous pensons que la faveur divine était sur le général Naaman, et que le général prit le risque de croire en ce que la jeune fille juive lui avait proposé. Naaman était un général d’armée très fort, car il avait vaincu Israël, mais d’une part, malgré sa puissance de vaincre les Syriens, il était un lépreux.

Ce texte est un extrait du livre « Transformez Vos Faiblesses en Victoires  » écrit par Jean-Bosco NZASHI.

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