Peut-être vous trouvez-vous dans un cas de figure différent. Vous êtes peut-être croyant depuis de nombreuses années ; vous bénéficiez déjà de la bénédiction éternelle du salut, vous savez que vous allez au ciel et vous avez goûté à la bonté du Seigneur dans certains domaines. Dieu soit loué ! Mais n’aimeriez-vous pas aller plus loin dans votre marche avec Lui, être plus hardi et audacieux dans votre foi ?

Rappelez-vous toutes les fois où le Seigneur vous a appelé à faire une chose nouvelle, dans le but de produire un changement dans votre vie. Comme Pierre, vous avez entendu la voix du Maître vous appelant à traverser les eaux de la vie pour vous élever en Lui. Vous L’avez entendu dire : « Viens ». Vous vouliez quitter votre zone de confort pour marcher sur l’eau… mais vous ne l’avez pas fait. La crainte vous a arrêté. Vous avez vu le vent et les vagues agiter les circonstances de votre vie. La timidité vous a fait reculer. Si tel est le cas, n’acceptez pas la culpabilité. Bien au contraire, permettez aux vérités contenues dans ce livre de fortifier votre foi. Laissez-les vous inspirer à étudier la Parole et à découvrir combien Dieu est bon. Remplissez votre cœur de cette bonté, ainsi votre confiance augmentera et vous saurez que, non seulement vous pouvez Lui faire confiance pour votre salut éternel, mais aussi pour chaque domaine de votre vie.

Tant que vous vous méfierez des intentions de Dieu et de Sa bonté, votre foi ne grandira pas car la crainte vous en dissuadera. Vous hésiterez constamment : « Et s’Il ne tenait pas Ses promesses ? Et s’Il ne m’écoutait pas ? Et si ce qu’Il me demande allait me faire souffrir ? ». Dès que votre cœur sera pleinement convaincu de la bonté de Dieu, vous ne serez plus harcelé par de telles questions. Vous serez pleinement assuré qu’Il ne vous fera jamais aucun mal. Il ne vous abandonnera jamais et ne vous laissera jamais tomber. Tant que vous Le suivez, Il sera toujours là pour vous aimer, vous aider et vous bénir. Vous seriez même assez hardi de marcher sur l’eau, s’Il vous demandait de le faire, car persuadé que Sa bonté vous soutiendrait, vous sauriez que vous ne pouvez pas couler. 

Dieu sait ce qu’Il fait

La tradition religieuse a réussi à persuader les croyants qu’ils ne peuvent pas compter sur la bonté de Dieu. La religion enseigne, qu’un jour ou l’autre, Dieu pourrait permettre que vous tombez malade ; le lendemain, Il pourrait même décider de vous faire vivre dans la pauvreté. Certains prédicateurs professent aussi que Dieu utilise la maladie et la pauvreté comme instruments de bénédiction. Mais cette tradition religieuse est en contradiction avec la Parole écrite de Dieu. Dieu ne confond pas le bien et le mal. Il connaît les définitions de la bénédiction et de la malédiction ; elles sont les mêmes que les nôtres (parce qu’Il nous les a transmises).

Nous pouvons lire, en Deutéronome 28, les descriptifs des bénédictions et des malédictions, tels qu’Il les a communiqués au peuple d’Israël. Les versets 11 à 13 récapitulent ces bénédictions :

L’Éternel te comblera de biens, en multipliant le fruit de tes entrailles, le fruit de tes troupeaux et le fruit de ton sol, dans le pays que l’Éternel a juré à tes pères de te donner. L’Éternel t’ouvrira son bon trésor, le ciel, pour envoyer à ton pays la pluie en son temps et pour bénir tout le travail de tes mains; tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n’emprunteras point. L’Éternel fera de toi la tête et non la queue, tu seras toujours en haut et tu ne seras jamais en bas, lorsque tu obéiras aux commandements de l’Éternel, ton Dieu, que je te prescris aujourd’hui, lorsque tu les observeras et les mettras en pratique. “ Deutéronome 28:11-13

Un peu plus loin, dans ce même chapitre, l’Eternel définit comme malédiction toutes les sortes de maladies, de maux et de carences qu’Il a citées. Il résume ainsi toute la nature détestable de la malédiction :

« Ta vie sera comme en suspens devant toi, tu trembleras la nuit et le jour, tu douteras de ton existence. Dans l’effroi qui remplira ton coeur et en présence de ce que tes yeux verront, tu diras le matin : Puisse le soir être là ! et tu diras le soir : Puisse le matin être là ! » Deutéronome 28 : 66-67

De toute évidence, Il distingue bien ce qui est bon pour nous de ce qui ne l’est pas. Il sait qu’il est bon pour nous que tous nos besoins essentiels soient pourvus. Il sait que si nous faisons des semailles, il est bon de récolter une grande moisson. Il sait que si nous possédons du bétail, il est bon que le troupeau s’accroisse. Il sait qu’il est bon que nos enfants soient bénis et que nous soyons en bonne santé physique. D’un autre côté, Il est bien au courant qu’il n’est pas bon que nous soyons malades, pauvres, remplis de crainte et abattus.

En fait, en hébreu, le mot shalom utilisé si souvent par le Seigneur pour bénir Son peuple exprime la plénitude – de l’esprit, de l’âme et du corps. Cela signifie : aucun besoin, aucun désastre. Dieu sait que c’est l’ordre normal des choses, Il le veut ainsi – pas seulement pour certains de Ses enfants mais pour chacun d’eux. Comme l’affirme le Psaume 145 : 9 : « L’Eternel est bon envers tous ».

On pourrait penser que tout le monde est aux anges d’entendre que Dieu est bon, pourtant, cette vérité a tendance à contrarier les religieux – tout particulièrement les prédicateurs. C’est pourquoi, lorsque Dieu m’a conduite à annoncer Sa bonté, Il m’a mise en garde contre les négateurs. Historiquement, ceux qui ont enseigné la bonté de Dieu ont été terriblement persécutés.

Dans les années 40, lorsqu’Oral Roberts commença à prêcher la bonté de Dieu, il essuya la critique des membres de sa propre dénomination. Certains avancèrent que c’était trop beau pour être vrai ! Un prédicateur confia à un de ses collègues : « Cela me rend fou quand Oral Roberts dit que Dieu est bon ». Son interlocuteur rétorqua : « Que préfères-tu qu’il dise : que Dieu est méchant ? ».

« Non », répondit le premier, « mais les gens vont se méprendre au sujet de Dieu ».
C’est cet homme-là qui se trompait au sujet de Dieu, pas Oral Roberts !

Ces leaders religieux ne supportaient pas ce message parce qu’à vrai dire, depuis des années, leurs sermons affirmaient que Dieu utilisait maladie, pauvreté et souffrance pour nous enseigner, voilà la vraie raison de leur opposition. Ils avaient peaufiné de super messages proclamant que Dieu est la source de tous nos problèmes : Il tire gloire de nos maladies. (Quelle folie ! Quand l’un de nos enfants est malade, nous n’en tirons aucune gloire et Dieu non plus. Une telle idée est une insulte, un blasphème à Son encontre).

Lorsqu’Oral Roberts proclama la bonté de Dieu, ces prédicateurs le calomnièrent car cette vérité réduisit à néant leurs sermons préférés. Aucun serviteur de Dieu contemporain n’a été aussi gravement discrédité !

Un jour, tandis qu’Oral prêchait sous un chapiteau, le pasteur de la plus grande église des environs le critiqua ouvertement à la radio. Il mit ses auditeurs en garde et leur conseilla de ne pas s’approcher du lieu de réunion d’Oral Roberts. Le public ignora son conseil. Plus ils entendaient ce pasteur critiquer Oral Roberts et son message de guérison, plus ils assistaient nombreux aux réunions, espérant être guéris.

Finalement, environ dix mille personnes participèrent à ces rencontres. Il s’avéra qu’aucune d’elles ne fut offensée par le message annonçant la bonté divine ; elles découvrirent que Dieu avait de bonnes choses en réserve pour elles ; elles acceptèrent le message. Aussi, un grand nombre fut sauvé, guéri et délivré.

Ce texte est un extrait du livre « Béni Au-Delà De Toute Mesure » écrit par Gloria COPELAND.

Nous vous invitons à lire l’article suivant “Comprendre la bonté de Dieu : La base de la foi

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