« Merveilles et Miracles » est l’une des dernières œuvres écrites par Maria Woodworth-Etter au cours de son long ministère d’évangéliste dans le mouvement pentecôtiste. Cette histoire raconte de nombreux événements au cours de sa vie, de la tenue de réunions de réveil sous tente à ses propres frais. Elle raconte aussi la persécution et aux attaques violentes des habitants de la ville dans le but de faire taire son ministère.
Des contributeurs tels que Stanley Frodsham, F.F. Bosworth et bien d’autres racontent les miracles et les guérisons qu’ils ont reçus grâce à Jésus-Christ. Avec des témoignages de guérison de médecins, de pécheurs et de saints. Il y a une nuée écrasante de témoins que ces événements miraculeux ont bien eu lieu. Cela prouve ce qu’elle a enseigné si catégoriquement, que Dieu est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que son pouvoir de guérison n’a pas diminué. C’est la même chose qu’au jour de la Pentecôte, en 1924, et aujourd’hui.
Peu de temps après que Maria Woodworth-Etter eut répondu à l’appel de Dieu à « aller sur les routes et les haies et à recueillir les brebis perdues », les gens se pressaient pour l’entendre parler et des signes et des prodiges suivaient. En 1885, sans système de sonorisation, des foules de plus de vingt-cinq mille personnes se pressaient pour l’entendre exercer son ministère, tandis que des centaines de personnes tombaient à terre sous l’effet de la puissance de Dieu. Woodworth-Etter n’a pas seulement secoué la religion dénominationnelle, elle a aussi ébranlé le monde séculier par des démonstrations de la puissance de Dieu qui ont changé des vies.
Ceux qui venaient enquêter sur elle, la condamner ou la harceler semblaient les plus exposés au risque de « tomber » dans ce qui était décrit comme un état de transe. Maria prêchait que ces fortes manifestations de l’Esprit n’étaient « rien de nouveau ; c’était juste quelque chose que l’Eglise avait perdu. » Elle était inébranlable dans sa détermination à briser les forteresses qui maintiennent en esclavage des personnes, des communautés et des villes entières. On aurait dit que plus elle rencontrait d’opposition, plus elle était déterminée. Maria produisait une force invincible grâce à une prière tenace qui lui permettait de prendre l’autorité et d’exercer son ministère avec grâce et puissance. Elle était connue comme une femme de réveil capable d’ouvrir les villes…
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