Marc 2: 1-5

Mon peu ne peut que peu, proclames-tu Le paralytique de ses quatre membres

A mort songeait,

A sa mort prochaine ne croyait point.

Quelqu’un en ISRAËL devrait venir :

A son Regard foudroyant les portes de la mort

Depuis Adam si menaçantes

Et de victimes si avides

Se brisent, s’anéantissent et s’effacent.

Vint alors la Bonne Nouvelle

Vint alors Jésus le Sauveur

Quatre bras de violence

Agressant quatre fronts ouverts par la mort

Quatre !

Quatre un du Nord Quatre un du Sud Quatre un de l’Est

Quatre un de l’Ouest

Quatre bras sortirent l’Invalide

De la Mort

Quatre bras sortirent l’Invalide

De la Maladie

Quatre bras sortirent l’Invalide

De la Passivité

Quatre bras sortirent l’Invalide

Du Chômage

Quatre bras sortirent l’Invalide

De la Honte

Quatre bras sortirent l’Invalide

De la Stérilité

Quatre bras sortirent l’Invalide

Du Retard

Quatre bras sortirent l’Invalide

De la Malédiction

NORD

SUD

EST

OUEST

Tant que tu t’engages, utile

L’aide te sera.

Les Quatre bras du fleuve d’eau vive

Qui arrosent le Jardin d’Eden, Les Quatre bras te porteront

Loin de la Disette

Loin du Filet de l’oiseleur

Loin des Pièges de la mort

Loin

Encore loin

Au loin lointain

Au loin proche

Loin, quand même

La terre, le feu, l’eau, l’air

Quatre

Tous se soumirent au Principe de porter la vie

Alors que la Question se mena vers Jésus

Alors que l’Inactif se présenta à la Porte ;

D’issue point d’évidence :

Les portes d’en bas

Les portes de l’enfer

Les portes du séjour des morts…

L’armée des ténèbres aux serres tranchantes

L’ennemi de destinée de l’Invalide

L’ennemi qui le force à s’engloutir loin de la vie

L’ennemi qui l’a gardé perclus.

Toujours perclus

Dépendant sous le soleil

Dépendant devant l’Homme

Toujours perclus

Dépendant sans lendemain

Dépendant à jamais

Le ciel rendit sa Main d’Association

Quand jaillit le Sang du Lion ;

Les ténèbres plus ténèbres

Les ténèbres-ténèbres

Les ténèbres en ténèbres

Les TÉNÈBRES se déchirèrent

Les TÉNÈBRES s’entre-dévoraient.

Alors parut la Lumière Rédemptrice

Alors se fit Son chemin l’Etoile Restaurant :

S’ouvrit le ciel :

Davantage en signes

Davantage en puissance

Les Quatre montèrent sur le toit

Le salut est de prime abord vertical

Les Quatre bravoures savaient

Autant savoir

Ou JAMAIS

Autant savoir maintenant

Autant se délier

Autant se laisser aller

Savoir autant

Quelle préférence !…

Autant savoir

Les Quatre bravoures le savaient.

Imperturbable, le Maître enseignait ;

Quelqu’un d’entre tous s’instruisait, De ce tout si touffu un se libérait ;

De ses dures Paroles un s’édifiait.

Les Quatre bras saisirent le toit :

Il y eut une percée, où ,l’on n’en voulait pas, Il se créa une porte où les spécialistes n’en virent .

Les Quatre bravoures savaient :

Ils récoltèrent où ils n’avaient semé.

Les Quatre bras firent du bruit ;

Assourdissant

Très

Encore très

Des oppositions durent concourir

Le propriétaire

Les disciples

Le cercle-Leader Pierre Jean Jacques

Assourdissant

Très

Encore très

Des oppositions

Des oppositions

On ne peut les récuser :

Faire face.

L’enjeu : maintenant

Survivre immédiatement

Sans attendre demain

Accoucher demain tout frais

Et maintenant

Survivre immédiatement

Les Quatre bravoures

Savaient

Ils récoltèrent où ils n’avaient semé

Les Quatre bras firent du bruit ;

Assourdissant

Très

Encore très une opposition unique : le toit

Toi, le toit-obstacle-de -toi-même

D’offensive en offensive

Madame la Défensive affermit l’armure

Maître Offensive a l’art de vaincre à sang

Plus que vainqueur

Plus que béni

UN PLUS COMME TU L’ES

Enfin

Plus de faim !

Nulle fin à LUI

A l’Eternel des Armées

Vainqueur des Vainqueurs

Terrible en TERREUR

Plus que vainqueur

Et le toit céda.

Et le mort se descendit à Christ.

Les entrailles de Sa Miséricorde frémirent :

L’Onction eut compassion

Encore la

C’est une humanité enferrée par Satan.

La puissance du pardon s’ébranla : 

EN PREMIER

Si tu as un cœur qui ne pardonne, 

Ta plaie naît incurable :

Dieu, Le Père, ne te pardonnera.

Impardonnable qui demandes pardon

Tu mourras sans pardon ;

Refusant de pardonner

D’offrir gratuit le pardon

Gratuitement tu quitteras la terre

Sans

Surtout sans le pardon

Oui, sans le pardon du Père.

C’est sûr l’enfer

Terre d’accueil

Quel séjour !…

Quel éternel !…

Éternellement tien.

Le miracle se découvre par le pardon, Le pardon des péchés :

<<Mon enfant, tes péchés te sont pardonnés »

Les péchés

Le pardon

L’onction ne quémanda

Du compte des péchés

Elle ne quémanda rien,

A cœur si repentant s’excuse tout.

Désormais régnait l’espoir ;

Aussitôt, l’homme qui se mit à revivre :

Un retour est toujours possible.

L’Esprit Vivifiant opérait alors, 

Aussitôt, l’homme se mit à revivre.

Très prompt aussi des scribes,

Aussitôt la Loi Juive dénonça le blâme :

PARDONNER LES PÉCHÉS ;

Réjouis ton cœur en te pardonnant toi-même, 

En Christ, te béniras-tu lorsque tu pardonnes autrui.

De nouveau

Même en présence de Jésus

L’obstacle revint ;

En sauvant, Jésus le défia !

Ignorant le futile

Tu deviens utile ;

Des futilités

Voire des hommes-futilités

Même des futilités-hommes.

Jésus est en mission

Par toi, en toi, survive la mission !

Les Quatre bravoures acclamèrent :

Il marche

D’ores et déjà

Ça marche, la foi

Il était un paralytique, 

Aujourd’hui, en Christ, tout sain,

Un homme nouveau se crée !

Plus que vainqueur…

Ce texte est un extrait du livre UN PLUS COMME TU L’ES écrit par Kuami Thomas ZAGA.
Nous vous invitons à lire l’article suivant “HOMME SI TU COMPRENAIS“.

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