À QUAND LA FIN DU MONDE ?

Contenue du livre « À QUAND LA FIN DU MONDE ? ».

Dédicace

Remerciements

Avant-Propos

Introduction

Chapitre 1 : Des signes prédisent que la fin du monde est proche

Chapitre 2: Dieu est un mystère vis-à-vis de l’Homme

Chapitre 3: L’Homme devient aussi un mystère

Chapitre 4 : Chacun de nous a une mission

Chapitre s: La Bible a tout prédit

Chapitre 6 : Contexte de l’esclavage et péripéties d’Israel

Chapitre 7 : La démarche de Daniel pour connaître la fin…

Chapitre 8 : Finalement, à quand la fin du monde ?

Chapitre 9: Les trois étapes de la fin du monde

Chapitre 10 : À la découverte du plus beau pays du monde

Chapitre 1 : Mission de ce plus beau pays du monde

Chapitre 12 : Bref aperçu sur la chevauchée de l’ennemi

Chapitre 13 : Analyse et introspection

Conclusion

Annexe I

Annexe 2

Extrait du livre « À QUAND LA FIN DU MONDE ? ».

A quand la fin du monde ? Il s’agit d’une question fascinante et aussi vieille que l’humanité, mais qui reste toujours d’actualité. Chacun de nous se serait déjà posé au moins une fois sans en obtenir une réponse précise. Les disciples, profitant de leur position auprès du Seigneur, ont voulu avoir une longueur d’avance sur les évènements, et lui posèrent cette question que nombreux se posent aussi sur la fin du monde. Ils demandèrent au Seigneur : « Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » (Matthieu 24:3)

En effet, les disciples posaient des questions afin de comprendre les choses difficiles qui dépassaient souvent leur entendement. Aussi, en public le Seigneur ne parlait qu’en parabole. « Il ne leur parlait point sans parabole; mais, en particulier, il expliquait tout à ses disciples. » (Marc 4: 34)

Il est prouvé en pédagogie que la méthode interrogative est très efficace si elle est adoptée par les disciples ou les apprenants dans le processus d’apprentissage. Cela suppose l’attention et l’intérêt soutenus de ceux-ci.

En privé, les disciples recouraient aux questions en vue de comprendre le mystère du Royaume et le véritable sens de toutes les paraboles que le Seigneur prononçait en public.

De ce fait, aussi bien dans la marche ou la foi chrétienne que dans la vie d’un Homme, d’une organisation ou même d’une nation, etc., il importe de se poser de bonnes questions en permanence. Cette remise en question permet de faire le bilan, de bien sonder les situations ambiguës et au besoin de se donner de nouvelles orientations.

Et le Saint-Esprit, l’Esprit de vérité qui révèle toutes choses, ne manquera jamais d’apporter la lumière. En cela, la Parole de Dieu nous encourage en ces termes: « Cherchez et vous trouverez, demandez, et il vous sera donné, frappez et l’on vous ouvrira. » (Matthieu 7: 7)

En effet, il faut sonder les Écritures. « Car la gloire de Dieu, c’est de cacher les choses, et la gloire des princes, c’est de les révéler » (Proverbes 25: 2). Dieu cache la gloire pour que les fils des hommes en cherchant la révélation et la manifestation. Ainsi la fin du monde est perçue diversement.

C’est une incertitude totale pour les incroyants, mais un temps de repos et de restauration pour le peuple élu de Dieu.

À ce propos, Jésus dit: « Quand ces choses commenceront à arriver redressez-vous et levés votre tête, parce que votre délivrance est proverbe. » (Luc 3 1 28)

Je me suis posé aussi la même question comme les disciples | « Seigneur dis-moi, quand cela arrivera-t-il et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ?»

Face à une cette préoccupation, le Saint-Esprit m’a conduit à percer ce mystère grâce à la lumière des Saintes Ecritures.

Voilà même l’essentiel de la présente démarche. Malheureusement, beaucoup de chrétiens aujourd’hui s’intéressent trop peu aux signes du temps, alors que tout est rendu manifeste que la fin est proche.

À travers cette étude, l’ai aussi découvert que les prophètes dans la Bible avaient prédit l’émergence de plusieurs puissances au temps de la fin parmi lesquelles un pays le plus beau du monde qui émergera pour jouer un rôle non négligeable dans bien des domaines. Il s’agit de la République Démocratique du Congo. Cette expression, le plus beau pays du monde, ne doit pas être prise au sens grammatical, mais prophétique. Car le langage biblique est bien souvent très allégorique.

À titre d’exemple, parlant de Jésus-Christ, le prophète Esaïe dit qu’Il n’avait rien pour plaire. Cependant c’est Lui qui est devenu le plus beau d’entre tous. Pourquoi ? Simplement parce qu’Il a accepté d’accomplir la mission du Père, l’œuvre salvatrice de la croix. Ou même Jean-Baptiste pour qui le Seigneur a rendu ce témoignage : «Je vous le dis, parmi ceux qui sont nés de femmes, il n’y en a point de plus grand que Jean…» Alors que celui-ci n’a pas ni toit, ni ha. bit, ni quoi se nourrir se nourrissant essentiellement des sauterelles et miel sauvage. Cette grandeur de Jean-Baptiste n’était pas liée à ses avoirs ou statut social mais à sa mission de présenter Christ au monde.

La Bible dit aussi : « Qu’ils sont beaux les pieds de ceux qui annoncent la bonne nouvelle» (Esaïe 52: 7). Pareil à ce pays qui a aussi une mission prophétique, celle de porter la flamme de l’Évangile au temps de la fin dans les confins oubliés avant la grande moisson.

Nombreux sont ceux qui ne savent pas leur appel, la vocation de leur nation et tombent dans la tentation de l’envie, voguant outre-mer rêvant de trouver un meilleur avenir. Or la première bénédiction, c’est la terre, la Mère Patrie, Dieu délivre Israël de l’Egypte directement il leur donne une terre pour le repos (Terre promise). C’était dans ce pays-là qu’il devait les bénir. Tous ceux qui quittaient Jérusalem, y retournaient souvent confus. Car Jérusalem avait une promesse.

Un Américain par exemple ne se sent en sécurité que sur le sol américain (même leurs lois leur obligent de ne pas rester longtemps sans motif valable en dehors des Etats-Unis), autant un Juif n’est véritablement en sécurité qu’en Israël. C’est une évidence pour tous les peuples du monde.

Ainsi les patriarches dans la bible en séjour hors d’Israël exigeaient toujours le rapatriement de leurs restes pour le repos de leur sépulture. Quoique morts, ils ne trouvaient de repos que sur leur terre, a fortiori les vivants ? Lisons :

« Moise prit avec lui les os de Joseph ; car Joseph avait fait jurer les fils d’Israël, en disant : Dien vous visitera, et vous ferez remonter avec vous mes os loin d’ici. » (Exode 13 : 19)

Mais chaque fois que l’inverse se produit, c’est-à-dire se sentir en sécurité en dehors de sa terre, dénote un problème.

Tous ces autres peuples ne sortent en dehors de leurs pays que pour des missions spéciales et y retournent aussitôt.

Immigrons pour des missions spéciales, des objectifs précis, entre autres pour être des ambassadeurs de Christ, et non, juste pour la recherche de meilleures conditions de vie, couramment appelée immigration économique. Considérez les Juifs, partis en Egypte comme immigrés économiques, et ceci s’est transformé plusieurs années plus tard en esclavage.

Beaucoup de chrétiens pensent que le développement de leur pays dépend essentiellement de la classe politique, oubliant qu’ils ont eux-mêmes aussi la lourde charge d’intercéder pour le pays et les autorités établies et élevées en dignité.

À cela s’ajoute la perte de vision avec un accent mis beaucoup plus sur l’évangile social, que sur le pur évangile du Salut, qui pousse véritablement à la repentance sincère et à un changement de vie à travers la nouvelle naissance.

Nous assistons également à l’absence ou à une faible implication des Hommes de Dieu pour la bonne marche du pays. Un exemple, pour réussir, Pharaon avait besoin de Joseph. À Babylone, Daniel fut incontournable. Les chrétiens ont perdu la saveur pour influencer comme aux jours d’autrefois. Et les communs des peuples faute de modèle et se tournent vers des futilités, oubliant des véritables questions existentielles pour leur survie.

Cet ouvrage s’adresse à toutes les souches sociales. À titre indicatif, citons les serviteurs de Dieu, chrétiens, leaders, leaders d’opinion, décideurs, influenceurs, investisseurs, industriels, responsables, chefs d’entreprises, internationalistes, diplomates, enseignants, chercheurs, étudiants, opérateurs culturels, à la diaspora congolaise et africaine, artistes, écrivains, journalistes, penseurs, panafricains, etc.

Au travers de cet ouvrage, je poursuis les objectifs ci-après :

• Le réveil de l’Afrique pour l’évangélisation des nations en ce temps de la fin, principalement l’Asie; • Inciter les chrétiens à servir de véritable lumière pour la société, en puisant les richesses éternelles enfouies en chacun de nous, à l’instar de Daniel et autres…;
• Le respect, la dignité et la reconnaissance pour l‘Afrique, et le réveil de l’Afrique par une prise de conscience collective, surtout des Hommes de Dieu, T’élite et la jeunesse pour la restauration de l’Afrique;

• L’amélioration des règles générales de la diplomatie internationale, pour le respect des droits réciproques des peuples au risque pour les anciennes puissances coloniales de perdre complètement la face en Afrique tentée de se tourner vers les autres puissances émergentes;
• Rallumer la flamme d’amour et de fraternité entre pays africains comme un bloc à travers une coopération basée sur des projets d’intérêts communs;
• La recherche constante comme défi pour chacun de trouver une voie, petite soit-elle pour rendre la vie meilleure ou apporter un plus au bénéfice du plus grand nombre.
• Inviter à plus de gratitude, considérant toutes les merveilles de Dieu. Car sans gratitude, il est difficile voire impossible que Dieu se manifeste véritablement.

Je crois de tout mon cœur que cet ouvrage ouvrira les yeux de votre intelligence spirituelle pour grandir dans la révélation de la Parole de Dieu en ce qui concerne ce temps de la fin.

Pathy ABALI MOBWA