
UTILISEZ CE QUE VOUS AVEZ.
Vous savez ce que vous avez, alors utilisez-le ! Il y a certaines choses que vous n’avez pas, mais personne ne le sait, sauf si vous leur dites. Vous avez trop parlé de ce qui vous manque, il est temps de commencer à parler de ce que vous avez.
Je veux vous motiver à vivre une vie de progrès. Je veux que vous voyiez la puissance de votre esprit et que vous choisissiez d’avancer à tout prix. Faites des pas « audacieux » qui intimideront l’ennemi et vous propulseront au sommet. Commencez par l’imaginer dans votre esprit. Voyez-vous progresser. Voyez-vous atteindre le sommet dans votre carrière, votre ministère et votre famille, car ce que vous imaginez ne vous sera pas interdit.
Vous ne pouvez être aidé ni par Dieu, ni par la société, ni par la nature, si vous vous accrochez à des excuses. L’homme à la piscine de Béthesda est resté infirme pendant 38 ans jusqu’à ce qu’il abandonne ses excuses. Quand Jésus lui a demandé : « Veux-tu être guéri ? », l’homme a commencé à célébrer sa situation.
Il a dit : « Je n’ai personne pour me mettre dans la piscine lorsque l’ange agite l’eau. » Mais Jésus a ignoré son excuse et lui a dit : « Lève-toi, prends ton lit et marche. » Pour la première fois, l’homme a abandonné ses excuses et, en se levant (sans l’aide de personne), il a été guéri (Jean 5:2-9). Pendant toutes ces années, il attendait que quelqu’un le mette dans la piscine, mais lorsqu’il a pris une initiative, il a découvert qu’il n’avait besoin de personne d’autre que de l’aide de Dieu.
J’ai lu l’histoire d’une femme née sans mains, qui est pourtant devenue une artiste très célèbre et reconnue sur la scène internationale. Elle dessine avec un crayon coincé entre ses orteils. Pourtant, des hommes et des femmes valides continuent de dire : « Je ne peux pas réussir. »
Cette artiste extraordinaire a dit un jour : « Les yeux aveugles sont meilleurs que les esprits aveugles. »
Un autre exemple est Benjamin Franklin. L’un des pères fondateurs des États-Unis, il n’a eu que deux années d’éducation formelle avant de travailler chez un relieur. Là, il a découvert sa destinée. Parmi ses nombreuses réalisations, il a construit un hôpital célèbre, est devenu un diplomate exceptionnel pour l’Amérique et l’un des plus grands philosophes du monde, tout cela parce qu’il n’a laissé aucune place aux excuses.
J’ai également lu l’histoire d’un homme paralysé du cou vers le bas, la seule partie qu’il pouvait bouger était sa tête. En position allongée, il a imaginé un moyen de se déplacer. Cette pensée l’a conduit à concevoir l’idée du fauteuil roulant. Bien qu’il ne l’ait pas fabriqué lui-même, il a été un pionnier dans cette invention. Il a aussi milité pour la reconnaissance sociale des fauteuils roulants, si bien qu’aujourd’hui, dans de nombreux pays, des places de stationnement leur sont réservées.
Certaines personnes, bien qu’ayant seulement un bras paralysé, mendient dans les rues, parce qu’elles paralysent aussi leur esprit avec des excuses. D’autres, ayant des membres amputés, occupent des places de premier rang parce qu’ils possèdent ce qu’il faut pour y être. Leurs membres peuvent être coupés, mais pas leur esprit.
En 1973, j’ai rencontré le professeur Bitrus Gani, un spécialiste médical aveugle du Hope for the Blind Center, à Zaria, au Nigeria. Bien qu’aveugle, il est un expert en physiothérapie, prêche la Parole de Dieu avec compréhension et joue du clavier avec talent.
La vraie invalidité réside dans l’esprit, non dans le corps. Certains, bien que physiquement valides, pèsent 100 kg mais ont un esprit « plus léger qu’une plume ». Ils sont lents d’esprit, redondants, paresseux, effrayés par tout et refusent d’agir. Chaque opportunité glisse entre leurs mains à cause d’excuses.
Par exemple, une personne sans emploi depuis des années, lorsqu’on lui propose de devenir tailleur, répond : « Je ne peux pas couper droit. » À la suggestion de devenir menuisier : « Ah, je ne sais pas manipuler le bois. » Quand on lui demande ce qu’il veut faire, il répond : « Je réfléchis encore. » Mais, en réfléchissant trop, il finit par devenir une charge pour tout le monde.
Voici le témoignage d’un frère de notre congrégation qui a utilisé ce qu’il avait pour surmonter la stagnation et redonner un élan à sa vie.
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Ce texte est extrait du livre « VAINCRE LA STAGNATION » écrit par l’Evêque David O. Abioye.
Nous vous invitons à lire l’article suivant : « ATTENDRE, MAIS NE PAS GASPILLER ».
AVC, Paralysie, Pied Bancal, Hanche et Colonne Vertébrale 🦿❌ : Restaurés et Redressés. Alors que tout semblait figé, elle a vécu une guérison instantanée quand nous avons prié pour elle. Découvrez le témoignage complet sur YouTube (cliquez ici) ou en version AUDIO (cliquez ici).. Vous ou vos proches êtes challengé(e)s par des maladies? Inscrivez-vous et nous allons prier pour vous.
UTILISEZ CE QUE VOUS AVEZ. UTILISEZ CE QUE VOUS AVEZ.
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